Prendre conscience du pouvoir de nos décisions - Jérôme Adam - Conférencier Entrepreneur

L’association ESPÉRANCE BANLIEUES REIMS a présenté mercredi dernier son projet « Cours colibri » qui sera la 12e école d’un réseau national à la pédagogie innovante et aux principes forts (dont la motivation de l’enfant et l’implication de la famille).

Pourquoi le nom de « colibri » ?

« Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés, atterrés, observaient impuissants le désastre. Seul le petit colibri s’activait, allant chercher quelques gouttes avec son bec pour les jeter sur le feu. Après un moment, le tatou, agacé par cette agitation dérisoire, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Ce n’est pas avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ! »

Et le colibri lui répondit :« Je le sais, mais je fais ma part. »

Pour moi, prendre conscience du pouvoir de nos décision, c’est accepter l’idée que chacune de nos décisions ou non décisions a un impact. Que nous avons tous notre part de responsabilité dans les résultats auxquels nous arrivons et dans la vie que nous menons. C’est quitter cet état d’esprit fataliste « Je n’y peux rien. C’est comme ça et puis c’est tout. »

Pas forcément besoin d’imaginer des situations aussi complexes. Exempe : j’ai mal au dos et les séances de kiné ne suffisent pas. Ne puis-je pas agir sur mon alimentation ? Reprendre le sport ? Bon, dans mon cas, si mon corps d’athlète ne vous saute pas aux yeux, je vous assure que les exercices personnels auxquels je me suis astreint m’ont fait un bien fou en complément des ostéo-kiné-posturologues.

L’état d’esprit est donc primordial pour libérer notre pouvoir de décision.

Le mot de la fin pour Fatima El Haoussine (adjointe au maire de Reims) :

« Partir des besoins de l’enfant permet aux plus éloignés de réussir. Puisqu’après tout, nul n’est condamné à l’échec. »

#citationdulundi

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